Oui ! Vous avez bien lu. La jeune dame que voilà s’est tapé comme on dit, 370 mecs depuis qu’elle a l’âge de 13 ans… Ce tableau de chasse peu reluisant permet de soulever la question de l’addiction au sexe. Certaines personnes sont en effet à la recherche de partenaires sexuels pour compenser des manques psychologiques graves. Certes d’autres ont besoin de délivrance – éventuellement à la chicote – mais pour d’autres, c’est une maladie mentale. C’était, me semble t-il, le cas de Seyi Oladé.
« j’étais désespérément seule et misérable »
De son propre témoignage, on apprend qu’elle a perdu sa virginité à l’âge de 13 ans avec son premier copain. Malheureusement, elle tombe enceinte dans la foulée. C’est donc douloureusement, qu’elle devient maman à 14 ans. Ce n’est que le début de l’enfer. Les services sociaux se chargeront de l’enfant quand elle a 6 semaines. À 16 ans, Seyi quitte la maison. Elle avoue « j’étais désespérément seule et misérable ». C’est alors qu’elle rencontre Paul, 31 ans. Elle se sert de lui sexuellement pour combler son sentiment de solitude. Elle dit: « Quand j’ai commencé à avoir des relations sexuelles avec mon copain , je pensais que c’était la réponse et que je cesserais de me sentir si seule ». Mais ce n’était pas assez.
Jusqu’à l’âge de 30 ans, elle fait défiler entre ses jambes 370 messieurs recrutés dans les bars et parfois son entourage. Elle avoue aussi deux avortements et une attitude irresponsable envers ses enfants – elle en a eu un second entre autres. Je vous exonère des orgies (parfois il y avait 5 à 6 mecs à la fois), MST et autres déconvenues physiques et socioprofessionnelles. Seulement, Seyi avoue que cela était plus fort qu’elle. Le sexe était devenu une drogue et après une relation coupable, elle avait besoin d’une autre pour se consoler…
Après l’un de ses avortements à 26 ans, elle s’est saoulée puis envoyée en l’air.
L’un des moments les plus choquants de son témoignage c’est quand elle avoue qu’après l’un de ses avortements à 26 ans, elle s’est saoulée puis envoyée en l’air. C’est finalement à l’âge de 31 ans que Seyi acceptera de se faire prendre en charge pour guérir de son addiction. Depuis août 2009, elle est chaste comme la vierge dans l’imaginaire catholique, mais ne compte pas le rester à vie. Elle assure : «Je ne prévois pas avoir des relations sexuelles dans un proche avenir. Si le bon gars arrive et que je sens que je suis dans une relation amoureuse stable, je me sentirais en sécurité pour le faire. J’ai mes enfants qui vivent avec moi et je sens que je ne suis plus accro au sexe.»
Alors, l’addiction au sexe, une affaire de démons ou une maladie mentale ? Comment l’église peut-elle prendre en compte ce genre de besoin ? Le débat est ouvert ?
la question mérite d’être réellement posée, surtout que le péché du sexe est le plus diabolisé et le plus condamnable par l’Eglise. mais nous devons en toute sincérité reconnaître le mal psychologique qu’entraîne cette addiction, elle est aussi dévastatrice que la toxicomanie.
l’addiction sexuelle est selon moi une maladie mentale!! et même s’il y a démon derrière, l’important pour nous en tant que chrétien ce sont les « âmes » de ces personnes.
A lire le témoignage de dame, je trouve que son cas est plus une maladie mentale ; même si on n’a pas la preuve qu’il n’y a pas un démon derrière sa situation, je sais que là où il n’y a pas l’Esprit de Dieu, tout esprits, aussi subtils qu’ils soient peuvent en faire leur gîte. Le vide qu’elle sentait en elle ne peut être comblée définitivement que par l’amour de Dieu, si elle l’accepte. La responsabilité de l’Eglise dans pareille situation est d’annoncer l’évangile. La parole de Dieu a le pouvoir de guérir, délivrer, sauver, restaurer,corriger, changer une vie,etc. Une relation d’aiide est également nécessaure pour ramenier des personnes atteintes d’un tel mal à la répentance.
Bien des addictions ont leur racine principale dans des vides émotionnels. Je pense donc que la première aide à apporter à une personne sous le coup d’une addiction, c’est une relation d’aide au cours de laquelle l’on déterminera le vide que l’intéressé cherche à combler. A mon avis, la délivrance n’est pas la solution immédiate puisqu’il me semble même que cette dame soit « libérée » de cette addiction sans délivrance. Une relation d’aide, bien conduite avec les Ecritures, suffit à elle pour libérer, c’est-à-dire délivrer des addictions.
Continuons de rendre grâce à Dieu pour les 04ans dernières années de chasteté. Cependant, je trouve que ceci constitue une autre dimension de réflexion pour l’église et va constituer le plus dur des exercices pour elle en ce qui concerne sa façon de voir les péchés sexuels comme Josué l’a mentionné. Au delà d’une diabolisation de cette addiction sexuelle, le 1er moyen selon pour l’église de mieux réussir cette mission serait de considérer le fait comme un mal psychologique d’abord puis le reste viendra certainement.
Le problème se situe à deux niveaux: celui de la responsabilité de chaque « chrétien », nous formons une grande famille et le rôle de tout un chacun de nous est de veiller sur celui qui est proche de lui, alors quand un chrétien manque d’assumer une telle responsabilité cela ne peut qu’entrainer de tel dérapage même parmi les fidèles les plus affermis.
Ensuite, il va falloir que nos pasteurs fassent un peu de psychologie et cela les aidera à mieux traiter les cas qui leur serons présentés.
Que celui qui est débout aujourd’hui prenne garde…
Elle a eu un bébé à 13 ans,peut-être que c’est son premier goûté sexuel qui a conduit à à cette grossesse.Et immédiatement elle n’a pas eu de bons conseilers et de bons encadrements,ce qui a peut-être fait que malgré que son enfant vit elle est devenue seule sans enfant.C’est pourquoi elle a senti un vide en elle et c’est à la recherche de quelqu’un pouvant remplir ce vide qu’elle a frappé tant de mecs. C’est purement psychologique ce cas ci mais sachons aussi que lorsqu’on est possédé par l’esprit de babylonne on peut frappé plus de mecs que ça sans avoir troué de satisfaction.
addiction ou maladie mentale , seul le seigneur peut venir en aide et delivrer
mais malheureusemt ds nos églises le sujet est négligé ou traité avec légèreté